En 1992, une équipe de chercheurs géobiologiques autour de Joseph Kirschvink a publié un programme de recherche dont l’importance est aujourd’hui, presque 30 ans plus tard, significative. En examinant des échantillons de tissu cérébral de personnes décédées, les scientifiques ont trouvé une substance ferromagnétique d’origine organique, présente dans quasiment toutes les parties du cerveau et de la méninge en quantité relativement élevée : la magnétite.
Pour simplifier, la magnétite est un aimant biologique présent dans de nombreux êtres vivants, des bactéries aux oiseaux migrateurs en passant par les abeilles. Il est très intéressant de savoir qu’un lien fonctionnel avec le magnétisme terrestre n’a pas seulement été supposé mais confirmé chez les animaux. Ainsi, la boussole magnétique intégrée des oiseaux migrateurs est alignée suivant le champ magnétique de la Terre qui leur permet de naviguer précisément pendant des milliers de kilomètres.
Ainsi, il semble plus que probable que l’homme, en raison de la quantité élevée de magnétite dans le cerveau, interagit également d’un point de vue de la biologie de l’évolution avec le magnétisme terrestre. Or, nous ne sommes pas des oiseaux et nous naviguons à l’aide d’instruments techniques. On peut donc se demander quel avantage la magnétite confère à l’homme.
Disons-le d’emblée : sur ce point, les avis des experts divergent. Certains affirment que l’accumulation de magnétite dans le cerveau serait une conséquence nocive de l’aggravation de la pollution. En revanche, le fait physique que la magnétite attire comme un aimant reste incontesté.
Des expérimentations en laboratoire ont montré que des champs magnétiques bien plus faibles que celui de la Terre provoquent des oscillations des cristaux de magnétite. Il existe donc un lien entre les vibrations électromagnétiques et la réceptivité de notre cerveau. Dans ce contexte, il faut mentionner le neurologue allemand Hans Berger, inventeur du EEG. Il y a de nombreuses décennies, il identifiait les ondes alpha, dont la fréquence correspond exactement aux vibrations électromagnétiques de la Terre (fréquence de Schumann).
Cependant, jusqu’aujourd’hui, la signification de ce lien reste obscure ; certains pensent qu’il s’agit d’une simple coïncidence. Or le fait qu’il y a quelques millions de cristaux de magnétite par gramme de substance cérébrale (pour la méninge il s’agit même de 100 millions) paraît difficilement compatible avec l’hypothèse que tout cela serait un pur hasard.
Ce constat est également peu compatible avec l’hypothèse de la pollution. Par exemple, le diamètre des cristaux de magnétite humains ressemble fortement à celui des bactéries (90-200 nanomètres). Les bactéries utilisent la magnétite entre autres pour recherche de la nourriture. On ne peut pourtant pas se défaire de l’impression que la création utilise les principes magnétiques pour garantir la (sur)vie. Celle de l’homme aussi.
Nous voilà au cœur du sujet : des centaines d’études épidémiologiques et cliniques montrent ce que provoquent les champs électromagnétiques artificielles et pulsées de la téléphonie mobile. Depuis l’introduction du réseau de téléphonie mobile, les effets négatifs sur la santé ont énormément augmenté. Le nouveau réseau de téléphonie mobile 5G fonctionne grâce à un rayonnement ultra-haute-fréquence pulsé de 24-100 GHz. Ce qui dépasse les champs électromagnétiques naturels par un facteur de 18 trillions.
Nul besoin d’être un expert pour comprendre que notre cerveau avec son antenne de magnétite ultra-sensible ne peut y résister à long terme. Ce qui pourrait aggraver la situation : les cristaux de magnétite jouent un rôle dans la faculté de mémoire et de concentration. Un rayonnement massif de l’extérieur peut la perturber. La hausse significative d’enfants « au comportement difficile » depuis l’introduction de la téléphonie mobile plaiderait en tout cas pour une telle atteinte.
Maintenant, la magnétite est, curieusement, également la solution au problème, car sa caractéristique comme excellent support de stockage permet de changer la donne.
Les cassettes vidéo et audio d’autrefois étaient recouvertes d’une fine couche de magnétite qui permettait de stocker des informations avec une qualité relativement bonne. Aujourd’hui, ce principe est utilisé dans d’autres méthodes. Un broyage ultrafin augmente nettement la surface des cristaux de magnétite, de sorte qu’il est possible d’y enregistrer une densité d’information colossale (p.ex. acoustique quantique).
La technologie de Vita Chip se base sur ce principe. Elle enregistre les informations de fréquences biologiques sur un très petit support que l’on peut utiliser sans limitation et qui n’a pas de date de péremption. Le Vita Chip interagit entre autres avec la magnétite du cerveau et corrige le schéma oscillatoire dysfonctionnel créé par les champs électromagnétiques de la téléphonie mobile.
Les meilleures solutions sont celles inspirées de la nature. Bien qu’il soit impossible de copier la génialité créative, il est possible, en utilisant les principes actifs de manière intelligente, de préserver sa santé.
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